« En 2013, un ami m’a emmené sur les voies ferrées derrière la prison de Klong Prem. J’ai vu cette forêt de colonnes de ciment couvertes d’œuvres d’art et j’ai été immédiatement attiré », explique le photographe Rupert Mann, auteur de « Bangkok Street Art and Graffiti ».
Livres : pour la protestation créative, en Thaïlande, l’écriture est sur le mur